Les infections nosocomiales ne devraient plus être une fatalité
7% des hospitalisations se compliquent par une infection nosocomiale, impactant la vie des patients et générant des surcoûts ? *
Et si on modifiait les pratiques ?
Les infections nosocomiales ont un coût humain : en 2050, la résistance microbienne sera responsable du décès de 10 millions de personnes à travers le monde soit 1 personne toutes les 3 secondes1.
Elles ont également un coût pour notre système de santé avec notamment 7% des hospitalisations qui se compliquent par une infection nosocomiale, soit environ 750 000 cas pour 15 millions d’hospitalisation annuelles3.
Et si la modification des pratiques permettait de préserver la santé des patients tout en générant des économies ?
Plus de 30% des infections nosocomiales sont des infections urinaires2, liées pour la plupart à la mise en place d’une sonde urinaire. Le risque d’infection est multiplié par 14 lorsqu’il s’agit d’une sonde à demeure2.
Le sondage urinaire évacuateur est une pratique de soin qui permet de ne pas laisser de matériel en place. Il est associé à une moindre fréquence d’infections urinaires que le sondage à demeure2.
Chez B. Braun, nous sommes pleinement engagés dans la lutte contre les infections nosocomiales, auprès des professionnels de santé et des patients.
B. Braun est un partenaire historique depuis maintenant 10 ans pour la lutte contre les infections urinaires nosocomiales.
Claude Rambaud, vice-présidente du LIEN : quels enjeux pour les établissements de santé ?
1. AMR Review. Antimicrobial Resistance : Tackling a crisis for the health and wealth of nations Chaired by Jim O‘Neil.
2. Recommandations de la SFHH, Surveiller et prévenir les infections associées aux soins – septembre 2010 et revues en avril 2015.
3. 1er programme National de Sécurité des patients (PNSP) 2013-2017.
*1er Programme National de Sécurité des Patients (PNSP) 2013-2017
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